La période d’intégration, qui se dilue sur deux semaines au contenu varié, commence par une intervention de la start-up Awayke. — [05/09/2020]
Awayke s’occupe de développer et appliquer des outils de développement personnel, par le biais, entre autres, d’ateliers effectués sur prestation. Dans notre cas, c’est Claire, qui travaille pour Awayke, qui se charge de nous faire cette prestation. Elle va se dérouler sous la forme de 4 ateliers, en deux jours.
Ce premier jour, nous avons rendez-vous un peu plus tôt que l’heure habituelle (enfin, qui le sera) pour partager un petit déjeuner. J’avais totalement oublié donc je suis arrivé à 9h30 🙂
Claire se présente et nous explique le déroulement de la matinée, et de l’après-midi plus globalement. On va donc suivre le processus Awayke qui se déroule sur 4 étapes :
Rétrospection > Introspéction > Inspiration > Mise en pratique
Pour la journée, on a vu le modèle DISC, avons fait des petits questionnaires.
On a également fait des petits travaux de groupe, en collant des post-it (d’un côté les ‘peurs’ et d’un autre les ‘attentes’ lié à la formation elle même).
Je trouve ça bien de commencer l’année comme ça. Je suis assez impatient de commencer à faire de l’informatique, mais pour favoriser la cohesion de groupe (ce qui est le souhait de WF3— le module est nommé “Team Building” sur notre agenda interne 😇), ça semble pertinent.
Claire nous a demandé, à plusieurs reprises, si l’ont avait des besoins spécifiques.
J’ai dit que je trouvais la lumière de la pièce trop agressive, et après avoir sondé l’avis de toustes, on a pu éteindre les lumières. Ça s’est fait en bienveillance, j’ai trouvé ça bien.
Ensuite, on a également pu se positionner sur le modèle DISC (chacun a une ou deux couleurs dominantes).
J’ai eu du mal à comprendre où est-ce que ça allait nous mener, au début. Puis, très vite, j’ai pu saisir. En fait, ça nous permet de mieux rendre compte de ce qu’on souhaite faire au travail. Ça nous prépare bien à la formation, je trouve. Mais surtout, on a tenté de mieux comprendre ce qui était important pour soi, en termes de besoin et attentes (envers soi ou envers autrui).
Pour ce second jour, on a fait les deux ateliers restants.
C’était pas mal de petit tests à faire seul, puis des choses plus ludiques à faire en groupe.
Il y a eu une partie assez longue, et qui s’est surtout placé l’après-midi, c’est une série de question autour de l'Ikigaï .
Bon, je ne suis pas très réceptif aux outils de développement personnel & cie. Mais, j’avoue que la manière dont ça a été présenté, puis surtout la cohésion de groupe qui s’en ai nourri, c’était pertinent à vivre. Plutôt un bon début de formation, ça prépare bien l’ambiance et le ‘terrain’ avant de commencer à bûcher du technique. WF3 semble vraiment faire ça davantage pour qu’on crée du lien entre nous, ou un ‘ice-breaker’ comme iels disent chez Awayke.
L’école nous demande nos besoins, est à l’écoute (iels pratiquent le ‘bureau ouvert’, c’est à dire que tant que le bureau de nos responsables/référents est porte ouverte, alors on peut entrer pour les voir). L’école tente de rendre l’expérience agréable, mais sans non plus créer une zone de confort dont on ne pourrait plus s’extraire : le but est, et restera, de nous préparer à l’emploi.
Le contenu de la formation est strictement le même que pour les parcours classiques, simplement quelques petites attentions viennent s'ajouter, et c'est tant mieux à vrai dire.
Et si les aménagements existent dans le monde du travail, il paraît pertinent de s’armer face aux imprévus (qui au final risquent d’arriver davantage que des environnements tout à fait adaptés à nos besoins : c’est le jeu.).